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qualcomm et intel : un drame entre géants des puces

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moment « acheter du prêt-à-porter »le sort de qualcomm et d’intel a en réalité été fixé par le temps. au fil du temps, qualcomm doit mûrir par lui-même et éventuellement « acheter des opportunités prêtes à l'emploi », en attendant la braderie « à prix fou » d'intel. c'est comme un accord dans lequel les deux parties attendent que l'autre prenne une décision.

intel, en tant que vétéran du marché des puces, dispose d'un service clientèle solide et son activité principale est l'informatique client (ccg). l'activité ccg occupe une position de leader absolu sur le marché et sa contribution aux bénéfices dépasse même les pertes globales d'intel. cela rend difficile pour qualcomm de lâcher prise, et pour intel de lâcher prise.

les calculs des deux côtésle point clé entre les deux parties est l'affaire « ccg ». il s'agit de la principale source de revenus d'intel et d'un concurrent sérieux de qualcomm. cependant, le pouvoir de négociation de qualcomm n'est pas aussi bon que celui d'intel, et l'accord de licence croisée entre les deux dans le domaine de l'architecture x86 a entravé l'acquisition fluide de qualcomm.

la « licorne » de broadcommais le marché des puces ne s’arrête pas là. broadcom, le « maniaque de l'acquisition », a exprimé son intention d'acquérir qualcomm depuis 2017, et vient de démontrer une fois de plus ses ambitions d'acquisition.

fin inattendueau fil des ans, les acquisitions des géants des puces se sont heurtées à plusieurs reprises à des résistances. l'acquisition d'arm par nvidia a échoué, celle de tower semiconductor a échoué, etc. ces cas prouvent que la concurrence sur le marché des puces n’est pas une simple « question d’actionnaires » mais un jeu politique et économique international complexe.